Sorti l’année dernière sur PC, PS4 et Xbox One, DOOM fait son comeback sur Nintendo Switch. Réalisé par le studio texan Panic Button pour Bethesda, ce portage promettait de nouvelles sessions explosives dont on ne pouvait se priver.
Une puissance technique faiblarde. Il fallait s’en douter, DOOM sur Switch déçoit. La puissance de la console fait clairement défaut et propose des graphismes très moyens et une absence consternante des effets de lumière. Bien que le titre se montre plus fluide, permettant au joueur de réellement profiter des joies du fast-FPS, la Switch dévoile rapidement ses limites dès que l’action s’intensifie avec plus de six ennemis à l’écran. Dommage.
Un titre toujours aussi jouissif. Au-delà de la patte graphique décevante, le gameplay ne perd en rien de sa nervosité. Le mode solo tient toutes ses promesses et permet aux gamers de se défouler comme jamais. L’utilisation des Joy-Con s’avère bien pensée et facile à prendre en main, que ce soit en solo ou en multijoueurs. Toutefois, on regrette l’absence du mode SnapMap, l’éditeur de niveau particulièrement puissant conçu par id Software.