Cities: Skylines, le city-builder de Colossal Order et de Paradox Interactive s’inspire de SimCity. Mais arrive-t-il à s’en détacher et à imposer sa patte ?
Tout d’abord, le menu intrigue : pas de scénarios disponible, les joueurs sont laissés seuls maîtres de leur cité. Pourquoi pas… Neufs cartes de bases sont disponibles et premier bon point, une importante communauté a déjà créé grâce à l’éditeur fourni et au Workshop des milliers et milliers de mods/batiments/maps !
Visuellement, la lisibilité est parfaite, les différentes icônes sont aisément identifiables. S’ajoutent des buildings aux architectures variées dans des villes aux très grandes dimensions qui ne font jamais souffrir le jeu de ralentissement (même avec plus de 300 000 habitants et l’installation de mods).
Au niveau de la prise en main : les habitués du genre comprendront rapidement, pour les autres ce sera légèrement plus long. Même en « hard », l’ensemble se révèle facile à gérer. L’économie donne peu de difficultés mais est suppléée par de nombreux de facteurs extérieurs (incendies…), moyens de transport (métro, bateaux, aéroports) qui captivent et font très vite oublier cette facilité. Seul point noir, les villes n’entrent jamais en interaction avec leurs voisines.
Si City Skyline ne possède pas encore la réputation d’un SimCity, cet opus permet d’orienter son avenir dans la bonne direction !