Une cape rouge, un slip blanc, et voilà un tout nouveau super-héros prêt à sauver le monde. Mais attention, Capitaine Superslip (retrouvez notre critique) sait marquer sa différence avec les autres justiciers. Son atout majeur : être « super débile » et n’avoir aucun super-pouvoir. Une « sorte d’antidote à Marvel et DC » qui pourrait bien faire trembler Batman et Superman comme diraient David Soren à la réalisation et Nate Wragg à l’animation.
Adaptées des œuvres de Dav Pilkey, les aventures du grand benêt dénudé restent totalement « hystériques et hilarantes ». C’est donc avec une grande sympathie et un ton joyeux, que le film raconte l’histoire de George et Harold, inséparables garnements qui ne pensent qu’à inventer des bêtises très originales. Une véritable « célébration de l’amitié, de l’imagination et de la créativité » comme le voulaient les deux hommes.
Tant dans l’histoire, que dans la technique, aucune limite n’a été fixée. « On nous a vraiment laissés libres de nos choix », expliquait Nate Wragg, heureux d’avoir pu porter ses idées les plus folles à l’écran. Capitaine Superslip fait donc dans l’extravagance la plus totale, animé par deux artistes au cœur d’enfant.
Retrouvez l’interview complète de David Soren et Nate Wragg en page 2.
Capitaine Superslip sortira le 4 octobre sur les écrans français.