Les licences, une affaire de gros sous
C’est ce qu’on appelle pudiquement un no match, y en a un qui les a toutes ou presque, l’autre pas. C’est l’éternelle tare de PES, celle de ne pas disposer d’autant de moyens que son rival.
Alors que FIFA 18 affiche crânement les véritables championnats, jusqu’aux plus méconnus (allez, vous jouerez bien avec le Cerezo Osaka cette année ? ), PES 2018 a toujours quelques difficultés de ce côté, en témoigne l’absence de Premier League ou de la quasi totalité du championnat espagnol ! Ça ajoute une petite touche d’originalité, et parfois de créativité dans les appellations farfelues des équipes.