Avec tous ces lives Disney en préparation, on se devait d’imaginer une suite à La Belle et la Bête (retrouvez notre critique), avec l’élément indispensable à tout chapitre 2 !
Attention spoilers!
A présent, la riche égoïste, c’est elle. Ses Louboutin rayent le parquet et ses dents blanchies font pâlir les miroirs. Un peu moins de Belle pour plus d’Emma Watson.
Quant à la Bête, alias Le Prince Sans Nom, il a bien compris que sa princesse le préférait un peu plus poilu. Sauf qu’il souffre d’une nouvelle malédiction : il est imberbe. Il devait pourtant le savoir : la célébrité de Gaston venait de son torse velu.
Pour sauver leur mariage, ils vont pouvoir compter sur Lumière et Big Ben – qui ont décidé de continuer à s’appeler ainsi pour des besoins marketing –. Les deux compères élaborent alors un plan en 56 chansons, 32 danses et 247 fonds verts pour les effets-spéciaux, avec l’aide de tout le personnel. Sauf pour Mme Samovar, dont ce n’est plus franchement la tasse de thé.
Le reste tout le monde le connaît. Belle tombe enceinte car l’enfant est le ciment du couple (selon toute mauvaise suite qui se respecte). Le film se finit alors sur la naissance de cet être bénit dont on vante déjà les talents d’assistant parlementaire. Générique, titre exclusif de Celine Dion, et fin.
En attendant, retrouvez La Belle et la Bête dans les salles à partir du 22 mars 2017.