Megamind
Cette fois-ci, c’est l’éducation reçu qui fait de Megamind un méchant. Un destin à la Superman le pousse à grandir sur Terre dans une prison, après que son vaisseau se soit écrasé. Rejeté par les autres enfants, qui lui préfèrent Metroman, un super-héros de son âge, Megamind se tourne vers le crime et devient l’archétype du super-vilain dans toute sa grandeur.
Sauf qu’après avoir réussi à tuer son pire ennemi, celui-ci a du remord et se rend compte qu’il n’a pas lieu d’être sans son alter-ego. Il en viendra à créer un nouveau super-héros qui deviendra un super-vilain et à tomber amoureux d’une journaliste pour découvrir son potentiel de bonté. Et c’est qu’on se rend compte que les méchants, ce sont peut-être, au bout du compte, que des gentils incompris.