Cette semaine débutait sur CBS Young Sheldon, spin-off et préquel de la série The Big Bang Theory, relatant la jeunesse du physicien depuis son entrée au lycée. Un premier épisode qui ne laisse rien présager de bon pour la série.
Un format qui ne colle pas. Le problème de ce premier épisode, et de la série par extension, c’est son format : ne vous attendez pas à une sitcom, comme sa série sœur, mais à un récit classique accompagné d’une voix-off (celle de Jim Parsons) relatant certaines anecdotes liées au présent. C’est plat, insipide et inutile. Un format sitcom aurait pourtant été bienvenu et efficace. The Big Bang Theory ne méritait décidément pas ça.
Un humour inexistant. Autre point décevant : la dérision que veut impulser la série, sorte de soubresaut cardiaque avant l’électrocardiogramme plat. Le personnage de Sheldon a pourtant du potentiel, le même que la version adulte, sauf qu’il ne fait absolument pas rire malgré la prestation de Iain Armitage, convaincante. Il en devient même gênant et seule la voix-off de Jim Parsons arrive à nous faire sourire… deux fois. Les pauses, longues, n’arrangent en rien la situation. Ne fait pas du Malcolm ou du Speechless qui veut.
Un commentaire
Episode vu ce matin… en effet on est très loin d’une comédie. Deja a part le nom et la personnalité de Sheldon, rien ne colle à l’enfance qu’il nous raconte dans The Big Bang. Ses frères et soeurs souffrent d’être dans son ombre, spécialement son grand frère qu’il nous décrivait comme une brute mais qui n’est pas si méchant. Sa mère est bizarrement clairvoyante, touchante et concernée par son fils par rapport à la Chrétienne de Big Bang. Son père nous fiche limite la larme à l’oeil alors qu’on s’attendait a voir un gros poivrot.
Je n’ai pas du tout compris ce premier épisode….