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Accueil - Wes Anderson, que valent ses courts-métrages adaptés de Roald Dahl sur Netflix ?
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Cinéma

Wes Anderson, que valent ses courts-métrages adaptés de Roald Dahl sur Netflix ?

Lucine Bastard-Rosset Lucine Bastard-Rosset7 octobre 2023Aucun commentaireIl vous reste 3 minutes à lire
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A la suite d’un premier moyen métrage diffusé sur Netflix depuis le 27 septembre – La Merveilleuse histoire de Henry Sugar -, Wes Anderson (notre critique sur Astéroid City) continue ses adaptations des nouvelles de Roald Dahl. Il livre ainsi trois autres courts-métrages – Le Cygne, Le Preneur de rats et Venin – qui renvoient pleinement à son univers singulier.

Le Cygne, un traumatisme enfantin

Avec Le Cygne, Wes Anderson change ses approches. Cette-fois ci, ce n’est pas sur un plan de Roald Dahl (interprété par Ralph Fiennes) que s’ouvre le court-métrage, mais sur le narrateur de l’histoire, Rupert Friend. Ce dernier revient sur un traumatisme vécu lorsqu’il était enfant et qui le hante encore aujourd’hui : son harcèlement par deux “dangerous, crazy and stupid boys”.

© Netflix

C’est avec une grande simplicité qu’Anderson aborde cette histoire qui reflète des problèmes contemporains. En dehors de Peter (Asa Jennings) et du narrateur, les personnages n’apparaissent que furtivement à l’écran. Ils sont nommés et interprétés par Rupert Friend qui leur prête sa voix, tandis qu’ils imagent ses propos. Cette efficacité narrative se prête particulièrement au sujet. Elle renvoie à la solitude du personnage qui doit affronter seul la haine injustifiée de ses harceleurs. L’esthétique dépouillée et crue de Wes Anderson confère ainsi à l’histoire toute sa poésie et sa dureté.

Le Preneur de rats, une espèce envahissante

Dans cette troisième adaptation, Anderson met en lumière l’étrange histoire d’un dératiseur passionné par cette espèce. Tout, dans l’interprétation de Rupert Friend, nous fait songer au rat. Il a les dents en avant, le dos voûté, des yeux noirs et hagards, une démarche légère et furtive. Et plus l’histoire avance, plus sa gémellité avec cette espèce se fait perceptible.

© Netflix

La première partie du Preneur de rats possède une esthétique semblable aux deux premiers courts-métrages : décors amovibles, mouvements de caméras marqués, etc. Mais, au fur et à mesure, Anderson s’en éloigne et prend des libertés, multipliant les références. Il mêle aux prises de vue réelles de l’animation, en animant un rat. Il rappelle ainsi l’antagoniste Rat dans son film Fantastic Mr. Fox. Puis, il joue sur les lumières et les ombres, réalise des gros plans et fait monter la tension d’une scène de duel en réalisant un montage rapide. Les plans sont toujours plus courts, plus sombres, plus étranges et évoquent ceux des films de Vampires tels que Nosferatu.

Venin, une piqûre suffit

Wes Anderson termine ses adaptations de Roald Dahl avec son court-métrage Venin. Encore une fois, le format de 17 minutes lui permet de livrer une œuvre aboutie et surprenante, tant dans les choix artistiques que dans la situation mise en scène. Ici, on se confronte à l’immobilité forcée d’un personnage (Benedict Cumberbatch) qui possède caché sous sous-pyjama un serpent au venin mortel.

© Netflix

Wes Anderson installe une ambiance anxiogène qui accroît irrémédiablement. Les minutes semblent longues, on ressent l’attente obligée de cet homme dont la vie ne tient plus qu’à un fil. La sueur qui perle sur son front est communicatrice et son état de stress toujours plus palpable. Autour de lui s’agitent deux personnages – Woods (Dev Patel) et le Dr. Ganderbai (Ben Kingsley) – dont l’affolement est à l’extrême opposée de celui de Harry.

Ces trois courts-métrages continuent et clôturent magistralement la série de Wes Anderson. Son univers entre en parfaite adéquation avec celui de Roald Dahl et le format court lui rend particulièrement justice. On demanderait même à en voir plus !

Le Cygne, Le Preneur de rats et Venin de Wes Anderson sont disponibles sur la plateforme Netflix.

Avis

8 Andersonnien

Wes Anderson s'empare à merveille de trois nouvelles de Roald Dahl pour les adapter à l'écran. Son esthétique se marie à celle d'un auteur majeur qui a marqué sa génération et les suivantes. Anderson prend des libertés, et plus on avance dans la lecture de ces courts métrages, plus on accroche à son univers.

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