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Accueil - Critique The Hate U Give – La Haine qu’on donne : Thug Life
Critique The Hate U Give – La Haine qu'on donne : Thug Life
© 20th Century Fox
Cinéma

Critique The Hate U Give – La Haine qu’on donne : Thug Life

Allan Blanvillain Allan Blanvillain13 janvier 2019Aucun commentaireIl vous reste 3 minutes à lireUpdated:15 janvier 2019
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Le réalisateur des Chemins de la dignité ou encore de Notorious B.I.G. s’attaque à l’adaptation du bouquin d’Angie Thomas, The Hate U Give. Objectif : servir le propos en évitant l’emphase.

Désignant populairement une vie de gangsta, le terme Thug Life est l’acronyme, dans le sens que lui donnait le rappeur Tupac, de « The Hate U Gave Little Infants Fucks Everybody », qu’on peut traduire par « La haine que vous transmettez aux enfants détruit tout le monde ». Il s’agissait d’un code de vie à destination des populations défavorisées qu’il avait rédigé avec d’anciens membres des Black Panther afin d’appeler les gangs des quartiers à respecter certaines règles pour éviter l’escalade de la violence. Une pensée retranscrite dans The Hate U Give – La Haine qu’on donne, qui en représente autant une allégorie qu’une critique.

The Hate U Give aux enfants, adultes de demain

Sans atteindre la puissance d’un Blindspotting, avec lequel il partage des thématiques semblables comme la position du témoin du racisme policier ou l’appropriation par les blancs de la culture noire, The Hate U Give brille néanmoins à sa façon, notamment en amenant le propos dans la bouche d’une jeunesse en quête identitaire.

La jeune Starr vit avec deux versions d’elle-même : une où elle incarne la fille noire du ghetto, une où elle joue la lycéenne modèle dans un lycée à majorité blanc d’une banlieue chic. Deux mondes qu’elle a toujours maintenus à distance jusqu’à ce qu’un drame les confronte. Malgré elle, Starr se transforme en centre de gravité qui attire les conflits raciaux, les guerres de gangs, la médiatisation, la colère, la haine, la peur, l’injustice, les préjugés… Starr est une ado jetée depuis une falaise dans un monde adulte qui veut l’instrumentaliser.

Une lueur d’espoir

On peut évidemment louer la pertinence de la mise en scène de George Tillman Jr. qui évite une réalisation trop ampoulée, bien qu’il ne s’empêche pas de bien appuyer quelques séquences, mais c’est au casting que l’on doit toute la force émotionnelle du film.

Si on peut rire de la perpétuelle image du « gendre idéal » de K.J. Apa (Archie dans Riverdale), on est conquis par la performance d’Amandla Stenberg tout en fragilité, en férocité, constamment lumineuse. Symbole pour les uns, danger pour les autres, sa Starr prend des allures de figure christique. On n’en oublie pas Russell Hornsby, père de famille tiraillé entre passé et avenir, espérant le changement sans parvenir à se libérer de ses propres chaînes.

Car si, en toile de fond, The Hate U Give dénonce l’inégalité sociale due à couleur de peau, le film tend surtout à l’acceptation de soi-même et au pardon de l’autre, histoire que les douleurs des parents ne deviennent pas les armes des enfants. En ce sens, The Hate U Give se réapproprie les mots de Tupac pour délivrer un message pacifiste prônant la coexistence. Un message qui fait le plus grand bien.

The Hate U Give – La Haine qu’on donne sort le 23 janvier 2018

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