Après une saison 1 trouvant son apogée dans un final d’anthologie, The Flash revient à toute vitesse nous faire oublier qu’il s’est déjà écoulé près de 5 mois avant le retour du speedster qui promet de nous décoiffer.
Qui dit nouvelle saison, dit aussi nouveaux problèmes, nouveaux gadgets, nouveaux pouvoirs, nouveau costume, nouvel allié et nouveau méchant. Zoom arrive, et Wells n’est déjà plus qu’un souvenir heureux. En pleine remise en question Barry tente une confrontation solo face aux méta-humains de Central City et se dévoile au grand jour. Sa notoriété change et il évolue de super-rumeur protectrice à super-héros adulé par la population, il devient enfin The Flash.
Sinon la série reste fidèle à son format bouclé classique, un méchant et une morale à la Scrubs finalisant les épisodes. Quant aux effets spéciaux, ils restent très moyens, le budget CGI de CW n’étant pas celui de la Warner, les moments pourtant forts en action demeurent plus proches d’une cinématique vidéoludique que d’un blockbuster.
Un premier épisode le cul entre deux chaises, qui confirmera à Flash que toute course effrénée de justice se fait en conduite accompagnée, quitte à devoir essuyer des échecs pour mieux repartir à fond de train. Vite, la suite.