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Accueil - Critique Sleep : sommeil paradoxal
Cannes 2023 - Critique Sleep : sommeil paradoxal
Cinéma

Critique Sleep : sommeil paradoxal

Charley Charley17 février 2024Aucun commentaireIl vous reste 3 minutes à lireUpdated:17 février 2024
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Après avoir fait ses armes en tant qu’assistant-réalisateur pour Bong Joon-ho (Parasite, The Host), Jason Yu signe avec Sleep son premier film. Un film de genre horrifico-fantastique présenté au Festival de Cannes 2023 à la Semaine de la Critique puis en 2024 à Gerardmer, où un couple voit sa vie perturbée par le sommeil d’un des personnages. Un premier essai plutôt réjouissant, mais qui s’essouffle dans sa conclusion.

Il est toujours galvanisant de découvrir un film de genre coréen, pays qui s’affranchit de toute limite depuis bientôt 20 ans. Et découvrir Sleep par Jason Yu fut une des grandes curiosités de ce Festival de Cannes pour de multiples raisons. Tout d’abord, le grand Bong Joon-ho (Memories of Murder, The Host, Parasite) adoube le premier long-métrage de Yu, ce dernier ayant travaillé pour lui en tant qu’assistant-réalisateur sur Okja.

Cannes 2023 - Critique Sleep : sommeil paradoxal

Ronflements morbides

Secundo, le pitch de Sleep est plutôt accrocheur en terme de promesses : un couple voit son quotidien perturbé du jour au lendemain suite au somnambulisme du mari (le malheureusement regretté Sun Kyun-lee) ! En effet, ce dernier commence rapidement à se gratter jusqu’au sang, à marcher dangereusement vers la fenêtre ouverte, à vociférer des menaces ou bien à ingurgiter des aliments crus.

Sa femme (Yu Mi-jeong) commence donc à sombrer peu à peu dans une forme de paranoïa, au même moment où elle apprend que le voisin de l’étage en-dessous est décédé peu de temps avant ces inquiétants troubles du sommeil. Déterminée coûte que coûte à protéger son jeune nourrisson, elle va rapidement tenter de trouver le moyen de repousser l’hypothétique fantôme qui a pris possession de son conjoint.

Cannes 2023 - Critique Sleep : sommeil paradoxal
© Lewis Pictures

Joli dodo

D’entrée de jeu, tout est au beau fixe pour Sleep, avec sa mise en scène carrée, une photographie chiadée, son décalage entre humour et tension, ainsi que sa très bonne dynamique de couple. Les saillies comiques côtoient donc l’étrange étrangeté, alors que le film nous malmène dans une dualité idéologique faisant s’opposer la raison (avons-nous bien affaire à un trouble du sommeil qu’il faut traiter?) et la superstition fantastique (y a-t-il un poltergeist ?).

Sleep déroule ainsi un ludisme certain pendant sa première partie (le film étant découpé en 3 actes distincts), avant de complexifier cette dynamique dans la seconde, et opérer son « climax » pour le dernier tiers. Malheureusement, le bat blesse au fur et à mesure que l’on avance, alors que Jason Yu cultivait un certain mystère, aidé de sa réalisation efficace.

Cannes 2023 - Critique Sleep : sommeil paradoxal
© Lewis Pictures

Apnées du sommeil

Mais à l’instar d’un certain Knock at the Cabin, le doute et l’ambiguïté n’est plus permise passé un certain point, et le cinéaste use d’effets horrifiques beaucoup plus attendus. Ce qui se présentait comme un film de genre tenu et original, basé sur une certaine universalité devient donc un récit beaucoup plus classique à la finalité attendue.

Un constat dommageable, malgré un renversement de situation et du rapport entre notre duo principal, qui révèle un certain sentiment de potentiel amoindri. Heureusement, le rythme de Sleep reste parfaitement géré en 1h30 : un résultat tout à fait correct pour un premier film donc !

Sleep sortira au cinéma le 21 février 2024

avis

6 Dodo presque récupérateur

Avec Sleep, Jason Yu livre un premier film formellement maîtrisé, avec un high-concept accrocheur et un très bon duo d'acteurs. Dommage que ce potentiel se voit progressivement dilué en sacrifiant son questionnement entre raison et foi. Sympatoche tout de même !

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