Ce qui ne fonctionne pas : Killmonger
Le personnage de Killmonger, bien qu’intéressant et complexe avec un véritable background dans la première partie du film, finit vite par devenir un stéréotype assez énervant à la fin du long-métrage. Son combat politique est intéressant, mais ses postures collant à la définition du super-vilain dans toute sa splendeur sont tout autant caricaturales et prévisibles que le long-métrage le laisse présumer.
Un personnage avec un certain potentiel, mais qui se complaît dans son rôle, incapable de se démarquer tant il incarne l’antagoniste standard, et dont les décisions finissent par devenir absurdes jusqu’à sa mort qui l’est tout autant, par entêtement. C’est bête, Michael B. Jordan l’incarnait pourtant avec tant de charisme…