[Critique] Capitaine Superslip en a dans le pantalon !

Adaptation réussie pour David Soren, qui lance le Capitaine Superslip de Dav Pilkey sur grand écran. Une bonne dose d’humour et un soupçon de bêtises enfantines pour une belle histoire d’amitié.

L’humour, c’est mieux à deux. Avec George et Harold, impossible de s’ennuyer une seconde ! Les deux héros ne sont jamais à court d’idées et nous amusent tout au long du film avec leurs petites combines. Très bien pensés par les scénaristes, les deux compères nous embarquent avec facilité dans leur univers attachant et fantastiquement blagueur. L’histoire respire la joie de vivre à pleins poumons et nous insuffle cette énergie endiablée avec fougue. On termine alors la séance tout guilleret, les zygomatiques bien éprouvés.

Un caleçon plein d’imagination ! En plus de la petite culotte blanche terriblement seyante dans son enveloppe de capeline rouge, le film fait preuve d’une créativité sans faille. Tant dans l’action que dans les dialogues, les personnages nous emmènent là où on ne les attend pas. On évolue ainsi de surprise en surprise. Et entre dauphins, plaisanteries scato et toilettes carnassières, les limites sont repoussées à l’extrême. On peut donc dire que Capitaine Superslip a mis le paquet et ce n’est pas pour nous déplaire !

Capitaine Superslip sort le 4 octobre 2017 en France et a été présenté en séance événement lors du Festival International du Film d’Animation d’Annecy 2017.

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