Frozen River est un drame réalisé par Courtney Hunt. On vous donne nos cinq bonnes raisons de revoir ce film américain sorti en 2009 !
Et si le service public faisait plutôt bien son boulot en terme de programmation télévisuelle ? La réponse pourrait s’avérer affirmative avec Frozen River.
- Parce que Quentin Tarantino a dit que c’était bien.
- Parce que lieu de l’action, un territoire indien, est généralement le théâtre de films aux thématiques de civilisation puissantes.
- Parce que Melissa Leo (tout savoir) a été nommée à l’Oscar et a remporté le prix de la meilleure actrice au festivals de San Sebastian et de Marrakech pour ce rôle.
- Parce que Courtney Hunt, la réalisatrice, a pensé, en faisant son film, à deux influences : La Balade Sauvage de Terrence Malick et Alice n’est plus ici de Martin Scorsese. On a connu pire comme maîtres.
- Parce que c’est un premier long métrage. Et qu’un premier long-métrage, ça se défend !
Quel est le récit de Frozen River ?
Une petite ville américaine à la frontière du Canada.
Ray peut enfin offrir à sa famille la maison de ses rêves et bientôt quitter leur préfabriqué. Mais quand son mari, joueur invétéré, disparaît avec leurs économies, elle se retrouve seule avec ses deux fils, sans plus aucune ressource.
Alors qu’elle essaie de retrouver la trace de son mari, elle rencontre Lila, jeune mère célibataire d’origine Mohawk, qui lui propose un moyen de gagner rapidement de l’argent : faire passer illégalement aux Etats-Unis des immigrés clandestins, à travers la rivière gelée de Saint Lawrence, située dans la Réserve indienne.
Tout savoir sur le film
Réalisatrice : Courtney Hunt
Scénario : Courtney Hunt
Gendre : Drame
Durée : 97 minutes
Date de sortie : 7 janvier 2009 en France
Quelles récompenses pour Frozen River ?
Ce film a été récompensé dans plusieurs festivals et à notamment reçu le Grand Prix du jury (fiction) au Festival du film de Sundance, ainsi que le Grand Prix au Festival international du film de Stockholm
Frozen River est à découvrir sur Canal VOD, UniversCiné ou encore LaCinetek.
Article écrit par Thibaut Fleuret