Sherlock Holmes: The Devil’s Daughter, 8ème épisode de la série d’aventure, nous replonge dans l’univers victorien du célèbre détective. Actualisé, l’opus parvient-il cependant à convaincre ?
Les graphismes ont été largement revus à la hausse avec des environnements variés et bien plus vastes. Le joueur retrouve l’ambiance caractéristique de l’époque et des précédents opus. Très centré sur la relation conflictuelle que Sherlock entretient avec sa fille adoptive, cet épisode fort dramatiquement, débute avec l’arrivée d’Orson Wild, acteur américain new-yorkais, venu étudier le personnage de Holmes. Mais ce dernier ne cache-t-il point certains secrets ?
S’il n’est pas nécessaire d’avoir joué aux précédents jeu de la série, The Devil’s Daughter se permet de nombreux clins d’œil à ses aînés. Bien plus tourné action, il propose un Sherlock réactualisé, avec un humour bien plus poussé et proche de celui des film avec Robert Downey Jr… doublé entièrement en français !
De même, le gameplay plus dynamique, conjugue choix multiples, observation, filature (avec Wiggins), autopsies, déduction, flair canin (avec Tobby), imagination pour préparer les actions en cascade, maquillage, mini jeux, etc, permettant une grande variété d’action.
L’intrigue, composée de 5 cas, se termine en une vingtaine d’heures, avec plusieurs modes de difficulté, et évidemment de grosses répercutions finales en fonction de vos déductions et choix moraux…