Et si on jouait au foot avec des bagnoles ? Une idée potentiellement stupide dans la réalité, mais qui a pourtant germé dans la tête des développeurs de Psyonix pour donner Rocket League.
Le principe est simple, un terrain de foot, un ballon et des voitures. Pas besoin d’en dire plus pour comprendre le but du jeu et c’est certainement cette simplicité qui caractérise le plus ce titre. Les règles et le gameplay sont simples, afin de proposer un jeu accessible et fun dès les première minutes.
La bêta propose du 3 vs 3, 2 vs 2 et du mano à mano. Pour gagner vous bénéficiez d’un saut et d’un boost rechargeable grâce à des bonus éparpillés sur le terrain. Le seul défaut apparent semble la physique du ballon, foncer dessus peut le projeter comme l’envoyer en l’air, il faut un peu de temps pour s’y faire, mais cela ajoute au côté « What the Fuck » du jeu: imaginez 6 débiles foncer comme des dératés sur la balle et parfois tourner autour sans réussir à la toucher, fous rires garantis, surtout en local.
Ses graphismes colorés et son fun immédiat pourraient pourtant ne pas suffire, Rocket league a tout intérêt à se parer de contenu et de modes plus variés, sans quoi les joueurs risquent de ne pas rester longtemps dessus.