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Accueil - Test Need for Speed Heat, tout juste tiède.
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Test Need for Speed Heat, tout juste tiède.

Contributeur Contributeur9 décembre 20193 commentairesIl vous reste 7 minutes à lireUpdated:28 février 2022
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Avec Need for Speed Heat, la licence automobile d’Electronic Arts fête ses 25 ans et son 25e opus. Cette incroyable longévité garantit-elle un épisode original et de qualité ? C’est ce que nous allons essayer de définir ici.

Retrouver sa grandeur passée

En 25 ans, la licence aura connu un certain nombre d’évolutions et de changements de style et de gameplay, certains plus appréciés que d’autres. La sortie en 2003 de Need for Speed : Underground, alors que Fast & Furious 1 et 2 avaient cartonné dans les salles, a marqué les esprits. L’ambiance bad boys, courses de rues illégales et tuning à foison avaient fait mouche au moins autant que la B.O. complètement folle. Elle avait à tel point séduit les joueurs qu’aujourd’hui encore, après plus de 15 ans, NFSU est le Need for Speed de référence pour beaucoup de joueurs.

Test Need for Speed Heat, tout juste tiède
© Electronic Arts

Avec Need For Speed Heat, Electronic Arts veut retrouver le statut de référence de l’arcade automobile et remplacer NFSU dans le cœur des joueurs. On devrait donc y retrouver tout ce qui a fait le secret des bons NFS.

Un open world qu’on connaît déjà bien

Le principe de l’open world, incontournable des années 2010 et défini comme référence depuis NFS Most Wanted, Burnout Paradise ou encore Forza Horizon devait forcément être de la partie. Tout ce qu’il y a de plus classique, une ville fictive : Palm City (inspirée de Miami) est entièrement reconstituée avec des paysages et types de routes variées.

Test Need for Speed Heat, tout juste tiède
© Electronic Arts

De même, graphiquement on ne trouve pas grand-chose à redire. Les voitures sont très bien modélisées, la sensation de vitesse est bien présente, les effets lumineux, de reflets et de pluie (surtout la nuit) sont très bien rendus. De plus, Need For Speed Heat est compatible HDR. Le moteur Frostbite donne entière satisfaction sur cet exercice. Seule l’animation des PNJ n’est, par contre, pas très convaincante.

Disséminées sur la carte tu trouveras des « planques » à débloquer, pour te reposer, sauvegarder, réparer et améliorer ton bolide, faire baisser ton indice de recherche ou encore avancer dans l’histoire. Un concessionnaire en ville te permettra d’acheter les voitures que tu débloqueras en mode histoire et un magasin te permettra de leur acheter des pièces d’amélioration. Et bien entendu des courses, dispersées dans les différentes régions de la carte.

Test Need for Speed Heat, tout juste tiède
© Electronic Arts

La grosse particularité de Need For Speed Heat c’est que cet open world n’est pas composé d’une seule, mais de 2 cartes, car à tout moment tu pourras passer du jour à la nuit d’un simple clic sur la map. Par contre, pour repasser de la nuit au jour, il faudra rentrer dans une planque (et avoir semé les flics avant le cas échéant).

2 salles, 2 ambiances, sale ambiance.

Le jour, tu devras participer à des courses légales sur circuit balisé en route fermée, afin de gagner de l’argent pour améliorer tes véhicules. La nuit, tu pourras t’inscrire à des courses de rues illégales, sur route ouverte au milieu de la circulation… et des forces de l’ordre qui ne voient pas ça d’un très bon œil. Et cette fois, tu y gagneras en réputation (niveau) ce qui te permet d’avancer dans l’histoire et débloquer de nouvelles courses de jour. Tu l’auras compris, il te sera indispensable de jouer sur les 2 tableaux pour avancer.

Test Need for Speed Heat, tout juste tiède
© Electronic Arts

Les disciplines sont assez variées, courses sur piste, drift, courses tout terrain, sprint, time-attack, slaloms, etc. Et tu devras te préparer un véhicule pour chaque situation selon 4 critères principaux (piste/tout terrain ; course/drift). Need For Speed Heat propose 130 véhicules différents, même si finalement, 4 ou 5 voitures correctement préparées te suffiront pour en arriver à bout.

Tu pousses le bouchon de la nitro un peu trop loin Maurice…

Mise à part l’exception de Need for Speed Porsche 2000, la série des NFS a toujours été très arcade. Need For Speed Heat ne déroge pas à la règle, et pousse même le bouchon un peu loin. Tu peux d’ores et déjà oublier la touche du frein, elle ne sert à rien. Quelle que soit ta vitesse d’approche ou l’ange du virage qui arrive, une simple pression sur le frein à main au bon moment avec le bon coup de volant, éventuellement un lâcher de pédale, et ça passera toujours.

Test Need for Speed Heat, tout juste tiède
© Electronic Arts

On retrouve ici l’approche arcade exagérée d’un Ridge Racer, en moins jouissif. Lors de la personnalisation de tes bolides tu devras choisir entre une spécialisation route ou hors piste, cela affectera la vitesse maximum atteignable suivant le revêtement, mais pas vraiment la conduite. De même que la pluie, assez présente, n’impacte absolument pas la maniabilité, pas plus que les dégâts, d’ailleurs assez anecdotiques.

Sans piston on ne va pas bien loin…

Le scénario est des plus banals, on dirait un mauvais Fast and Furious excessivement prévisible. À défaut, la bande originale est relativement entraînante, elle donne un peu rythme à Need For Speed Heat, sans malheureusement arriver au niveau de celle de Need For Speed Underground. Encore un point décevant pour les fans qui attendaient le jeu sur ce point également.

Le son des moteurs n’est pas mauvais, on reconnaît assez bien les différentes motorisations et les variantes d’échappement permettent d’étoffer un peu le catalogue. Malheureusement, le doublage VF n’est vraiment pas convaincant, à croire que les acteurs ne se sont pas amusés plus que nous.

Test Need for Speed Heat, tout juste tiède
© Electronic Arts

En termes de difficulté, il n’y a pas que la maniabilité qui te facilitera les choses, puisque l’IA ne présente pas vraiment de challenge. Que ça soit les adversaires à qui tu prendras facilement un tour, ou la police, qui bien que pas toujours évidente à semer, ne te compliquera pas la vie plus que ça.

Cependant, tu trouveras toujours tout un tas de « collectibles » à récupérer. Ne nous voilons pas la face, ils viennent parasiter depuis longtemps les jeux en open world afin de tenter de masquer le vide qu’ils présentent. Ainsi si la circulation  est vraiment très pauvre, tu devras t’aventurer souvent hors des routes et même faire quelques cascades pour découvrir tous les sprays de peintures, néons flamant rose à détruire, panneaux à traverser, sauts à réaliser, excès de vitesse à enregistrer, zones de drift à parcourir, etc. De quoi t’occuper encore quelques heures quand tu auras fini le scénario.

Pimp your car, not your face

Au niveau de la personnalisation, sur les voitures tu pourras te lâcher pleinement. Si la partie mécanique est assez basique et linéaire, et malheureusement trop souvent à l’opposé de tout bon sens mécanique, la partie esthétique est assez large et poussée. Feux, jantes, éléments de carrosseries, échappements, peintures et un très large panel de décalcomanies te retiendront de longues heures au garage pour sortir le bolide ultime à ton image.

Test Need for Speed Heat, tout juste tiède
© Electronic Arts

Bien que tu ne puisses pas créer ton propre personnage, tu pourras le choisir dans un panel assez large et mixte et tu pourras même ensuite le personnaliser un peu. Une attention sympathique mais qui n’a rien d’indispensable.

Tu l’auras compris, Need For Speed Heat est loin d’être le jeu de l’année, encore moins le Need For Speed ultime sur lequel on fantasme depuis longtemps. Malgré un moteur graphique parfaitement exploité il peine à convaincre sur tous les autres points et finalement son seul mérite sera probablement de permettre aux joueurs de PS4 de jouer à une pâle copie de Forza Horizon.

Pink-kun

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3 commentaires

  1. Melgo2B sur 18 décembre 2019 20 h 09 min

    Ouah quelle descente en règle!!!
    Pour ma part, qui suis également fan de la 1e heure – donc le HP de 2010 est à mon avis une référence – je suis disons plus tolérant!
    Alors oui les villes sont bien trop vides de jour comme de nuit, c’est même flippant… Oui la conduite est ultra arcade et au final un peu dépassé… Oui le scénario tient sur un coin de page… Et oui on a une sale impression que l’avatar et ses copains viennent des Sims, et encore dans les Sims il y a plus de fringues différentes en autres…
    Mais! L’esprit, le vrai, des NFS est présent. Juste pas assez, trop timide. On a, quand on joue, cette sensation qu’ils ont pas assez osé, qu’ils ont hésité en créant le jeu, qu’ils l’ont mal dosé, très mal équilibré, ça en est frustrant!
    Pourtant les idées sont là: ce système jour/nuit est terrible, juste pourquoi repartir à zéro dès le retour au garage, les flics ont une mémoire de bigorneaux?
    Génial ces types de courses différents, mais pourquoi les concurrents ont des voitures blindés et une IA si naze? Et pourquoi une si grande différence en fonction du niveau -ou des réglages- de notre voiture?
    Avec des graphismes aussi beaux, qui en mettent tant plein la vue, pourquoi ne pas avoir fait des populations plus présentes et « actives » qui s’écartent -dans un genre plus Colin McRae Rallye que GTA!- ?
    Pourquoi que deux types d’obstacles – les destructibles, et les autres qui vous arrêtes d’un coup net sans détruire votre caisse mais permet à la police de vous chopper -_-‘ ?
    Bref clairement l’esprit des Need For Speed est là dans Heat, mais caché, tapis dans l’ombre. Et on attend au final pendant ces heures de jeu qui passent qu’il nous saute à la gorge… Dommage, on était vraiment proche…

    Répondre
    • Aurélien sur 19 décembre 2019 17 h 07 min

      Bonjour et merci pour ton commentaire !
      En fait je suis entièrement d’accord avec toi. Oui on sent bien qu’ils ont essayé de renouer avec l’esprit des premiers. On sent la tentative cachée au fond de tout ça. Et c’est d’autant plus frustrant de ne pas y trouver l’évidence qu’on attend tous !
      Comme tu le dis, vu les productions concurrentes actuelles, on était en droit d’attendre un peu plus de vie au moins en ville. Quitte à s’asseoir sur un ou 2 effets lumineux, ou la pluie qui n’apporte rien.
      Cette gestion binaire des obstacles est excessivement frustrante. Soit l’objet vole comme un fétu de paille (quand il s’agit de murs c’est tout de même surprenant), soit il nous arrête net sans vrai gros dommage sur la voiture. Je veux bien admettre qu’on est sur un jeu arcade, mais un minimum de réalisme reste attendu.
      Et l’IA… ça reste, je pense, le prochain gros vecteur d’évolution du monde du jeu-vidéo. Vivement qu’ils commencent à mettre de coté les prouesses graphiques (on est presque allés trop loin je trouve) pour se concentrer sur l’expérience utilisateur. Le deep learning est accessible, faire des IA crédibles est à portée de main aujourd’hui.
      Mon test reflète ma déception. Après avoir encaissé sans rien dire la platitude des précédents opus, j’avais vraiment de gros espoirs sur celui-ci.
      Allez, croisons les doigts pour le prochain 😉

      Répondre
      • Valentin sur 17 mai 2020 10 h 17 min

        Je suis d’accord avec vous, je suis une nouvelle fois très déçus de cet opus pour lequel je n’attendais vraiment pas grand chose.

        Je n’arrive toujours pas à croire à la fin du mode histoire, qui est un énorme foutage de gueule vis à vis à la fois des joueurs et de l’histoire de la licence…

        Je pense que ce studio est incapable de sortir un vrai NFS, sachant que la licence repart dans le mains de Criterion Games on aura peut être un meilleur jeu la prochaine fois.

        C’est super triste de voir chaque année la licence se faire assassiné ainsi, après toutes leur promesse de redorer le blason, ils ne font que l’inverse. Ils suffisait d’un Underground ou d’un Most Wanted Remastered pourtant… Bref je suis dégouté

        Répondre

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