Si public et médias s’accordent pour vanter les mérites de Dragon Ball FighterZ, on ne peut pas vraiment dire que l’opus soit une réelle innovation…
Les équipes de Bandai Namco et Arc System Works se sont appuyées sur des données béton : l’attente inassouvie des nombreux fans DBZ et les ventes de la licence Xenoverse dépassant les 8 millions de copies écoulées. Peu de prises de risques dès le départ donc, pour un opus qui ne fait qu’emprunter aux titres ayant bien fonctionné avant lui.
DBZ Extreme Butoden sur 3DS, tout d’abord et DBZ Supersonic Warriors sur Game Boy Advense dans un second temps. L’influence des Guilty Gear Xrd et BlazBlue d’Arc System Works -reconnu pour ses jeux de combats techniques- ne sont pas à négliger non plus. Au final pas de révolution, mais le génie de mélanger un ensemble de qualités indéniables.
Grâce aux dernières évolutions en matière de traitement des images 2D et 3D, les développeurs ont pu enfin créer LE jeu en 2,5D qu’attendaient tous les fans. À la fois proche de la saga animée autant dans les visuels -en évitant le photoréalisme- que dans le gameplay. Avec ses modes solo et multijoueurs, on a enfin le Super Saiyan Game qu’on voulait voir !