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Accueil - Critique Partie 1 : Wes Anderson et Roald Dahl, La Merveilleuse histoire de Henry Sugar
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Critique Partie 1 : Wes Anderson et Roald Dahl, La Merveilleuse histoire de Henry Sugar

Lucine Bastard-Rosset Lucine Bastard-Rosset30 septembre 2023Aucun commentaireIl vous reste 3 minutes à lireUpdated:30 septembre 2023
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Le réalisateur américain Wes Anderson s’empare de quatre nouvelles écrites par le célèbre romancier Roald Dahl. Il en tire quatre court-métrages diffusés sur Netflix entre le 27 et le 30 septembre. La Merveilleuse histoire de Henry Sugar – présentée en avant première lors de la Mostra de Venise 2023 – est une imbrication de récits dans le récit, tous plus étranges les uns que les autres.

Mais tout d’abord un peu de contexte. Deux ans auparavant, Netflix acquiert la Roald Dahl Story Company (RDSC) dans le but de tirer une série de réalisations inspirées des écrits du romancier. Lors d’un article publié le 22 septembre 2021, l’entreprise explique que deux réalisateurs penchent déjà sur une adaptation de Charlie et la Chocolaterie en série et de Matilda en comédie musicale. Aujourd’hui, ces deux projets semblent avortés mais laissent le pas à l’imaginaire de Wes Anderson.

© Netflix

Ce n’est pas la première fois que Wes Anderson porte à l’écran un récit de Roald Dahl. En 2009 sortait Fantastic Mr. Fox, un film d’animation en stop motion. Il retrace l’aventure d’un renard qui défit trois grands producteurs de nourriture : Boggis, Bunce et Bean. Avec ces quatre courts métrages, l’univers de Roald Dahl se retrouve à nouveau en étroite intrication avec l’esthétique singulière d’Anderson.

La merveilleuse histoire de Henry Sugar

Entre février et décembre 1976, Roald Dahl écrit une courte histoire mettant en scène Henry Sugar, fils héritier d’une immense fortune. Il mène une existence paisible mais ennuyante, jusqu’au jour où il tombe sur un étrange livre dans sa bibliothèque. Cette découverte l’amène à changer radicalement de mode de vie pour devenir l’un des plus grands tricheurs au Casino.

© Netflix

Dès les premières images, la patte de Wes Anderson est palpable. Les tons pâles englobent l’image ; les plans sont statiques, excepté lorsque la caméra effectue des travellings latéraux ou compensés ; les décors et costumes trahissent une époque révolue (mi XXe) et sont totalement inventés. Au milieu de cette ambiance factice, une voix off raisonne, celle de Roald Dahl, qui s’adresse directement au spectateur face caméra. L’illusion cinématographique n’est plus, le mur est brisé, le texte narré.

Une mise en scène à l’image du récit

Mise en scène et récit entrent en résonance et se complètent. Alors que l’histoire contée par les différents personnages opère de multiples mise en abîmes, les décors se transforment à vue, se modulant au fil des mots et des scènes. On entre dans différents espaces tout en découvrant plusieurs protagonistes – Roald Dahl, Henry Sugar, Imdad Khan, Dr. Chatterjee – vivant à des époques diverses.

© Netflix

Le casting opéré par Anderson n’est pas anodin et tous les visages présentés sont connus : Benedict Cumberbatch, Ralph Fiennes, Ben Kingsley. Ce dernier possède d’ailleurs un rôle qui évoque l’un de ses précédents dans Hugo Cabret de Martin Scorsese. Il passe d’un prestidigitateur à un autre. Mais au lieu d’incarner Georges Méliès, il devient cette fois-ci Imdad Khan, l’homme capable de voir sans utiliser ses yeux.

Wes Anderson livre un court-métrage digne de sa filmographie. Il embrasse avec talent une nouvelle humaniste de Roald Dahl et saura ravir les fans invétérés de son cinéma.

Disponible sur la plateforme Netflix.

Avis

8 Andersonnien

La Merveilleuse histoire de Henry Sugar est le premier d'une série de quatre courts-métrages adaptés des nouvelles de Roald Dahl. On plonge dans l'univers singulier du réalisateur à travers un récit contenant de multiples histoires. Un film sur de potentielles capacités humaines qui en dit long sur qui nous sommes.

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