• Le Récap’
  • Cinéma
  • Jeu Vidéo
  • Littérature
  • Musique
  • Série
  • Spectacle
Facebook Twitter Instagram TikTok
Nous aider
L'Info Tout Court
  • Le Récap’

    Brigitte Bardot, Peaky Blinders, procès de Nintendo… notre recap’ de la semaine

    28 décembre 2025

    Lucky Luke, Rob Reiner, DLC de Clair Obscur… notre récap’ de la semaine 

    21 décembre 2025

    Avatar, Supergirl, Lara Croft… notre recap’ de la semaine

    14 décembre 2025

    Netflix propriétaire de Warner Bros, 28 Ans Plus Tard : Le Temple des Morts, Taylor Swift… notre récap’ de la semaine 

    7 décembre 2025

    Pierre Niney, Scrubs, Quentin Tarantino… notre récap’ de la semaine

    30 novembre 2025
  • Cinéma

    Quels sont les meilleurs et pires films de 2025 de l’Info Tout Court ?

    31 décembre 2025
    6

    Critique Qui brille au combat : quand l’intime devient une tranchée

    29 décembre 2025
    8

    Critique Roofman : cambrioleur au grand cœur

    25 décembre 2025

    Top 10 des meilleurs films Netflix 2025

    23 décembre 2025
    6.5

    Critique Scarlet et l’éternité : purgatoire pour un monde meilleur

    22 décembre 2025
  • Jeu Vidéo

    Quels sont les meilleurs et pires jeux vidéo de 2025 de L’Info Tout Court ?

    27 décembre 2025

    Xbox Series : la console a-t-elle encore un avenir ?

    26 décembre 2025

    Mafia The Old Country : retour aux sources ou franchise qui dort avec les poissons ?

    26 décembre 2025
    7.5

    Test Hyrule Warriors – les Chroniques du Sceau : du plaisir manette en main, mais sans éclat visuel

    18 décembre 2025

    ARC Raiders : pourquoi c’est la nouvelle référence du jeu multi

    6 décembre 2025
  • Littérature

    Quels sont les meilleurs livres de 2025 d’après Céline ?

    28 décembre 2025
    10

    Critique 1991 : retour aux origines de Sharko

    22 décembre 2025
    8

    Critique Celle & Celui qui… : deux BD pour la curiosité

    15 décembre 2025
    7

    Critique Le Sympathisant : l’espion qui doute

    13 décembre 2025
    10

    Critique K2 : record au sommet du monde

    8 décembre 2025
  • Musique

    Quels sont les meilleurs et pires albums de musique de 2025 selon Léa ?

    26 décembre 2025

    Bad Bunny : notre top de ses albums

    2 décembre 2025
    6

    Critique Hélé : Héléna sacrée nouvelle égérie de la pop sucrée

    28 novembre 2025
    5.5

    Critique La fuite en avant : Orelsan en daron défaillant du rap game

    15 novembre 2025
    8

    Critique Kneecap : biopic indépendantiste sous acide

    24 juin 2025
  • Série

    Quelles sont nos meilleures et pires séries de 2025 ?

    29 décembre 2025
    7.5

    Critique Pluribus Saison 1 : bodysnatcher grand sourire

    25 décembre 2025

    Top 10 des meilleures séries Netflix en 2025

    20 décembre 2025
    7.5

    Critique Le Président Foudroyé (mini-série) : un éclair de génie sur Netflix ?

    11 novembre 2025
    6

    Critique Culte – 2Be3 : To be Free

    31 octobre 2025
  • Spectacle

    Quels sont les meilleurs spectacles de 2025 selon Mélina ?

    30 décembre 2025
    7

    Critique Mortality : l’âge de raison pour Ricky Gervais ? (spoilers)

    30 décembre 2025
    10

    Critique Walt, la folie Disney : autopsie d’un génie de son siècle

    8 décembre 2025
    8.5

    Critique Chat Botté, le musical : une revisite pleine de panache du célèbre conte

    1 décembre 2025
    6

    Critique Honda Romance : entre introspection et maladresse

    17 novembre 2025
Facebook Twitter Instagram TikTok
Nous aider
L'Info Tout Court
Accueil - Critique Loups-Garous saison 1 : télé-réhabilitée
Critique Loups-Garous, saison 1
© Canal+
Série

Critique Loups-Garous saison 1 : télé-réhabilitée

Kantain Kantain1 novembre 2024Aucun commentaireIl vous reste 4 minutes à lire
Partage
Facebook Twitter WhatsApp

Avec Loups-Garous, Fary et Panayotis Pascot signent une adaptation à la fois intelligente et soignée, doublée d’un hommage enamouré au célèbre jeu de société.

Ce mois d’octobre sera définitivement placé sous le signe des Loups-garous de Thiercelieux. En effet, le jeu de société devenu phénomène mondial crée par Philippe des Pallières et Hervé Marly bénéficie d’une double actualité, se trouvant être à la fois au cœur d’une relecture en mode comédie potache sous forte influence Les Visiteurs sur Netflix, portée par Jean Reno et Franck Dubosc, et d’un format jeu grandeur nature sur Canal+, produite et présentée par Fary et Panayotis Pascot. Et si l’on ne doute pas de la qualité du premier projet cité, l’on préfèrera ici (étonnamment) se concentrer sur cette ambitieuse adaptation, ayant choisi nombre d’anonymes dotés de talents impressionnants pour laisser ce jeu implacable demeurer le véritable cœur du programme.

Critique Loups-Garous, saison 1
© Canal+

Parce que ce qui touche rapidement dans ces Loups-Garous version Canal+, c’est, derrière l’impressionnant dispositif d’un village construit spécialement pour l’occasion, le soin et la modestie apportés pour faire du jeu le véritable réacteur du programme. Volontairement en retrait, et présents lors de petites scénettes souvent bien senties, Fary et Panayotis Pascot, accompagnés à la voix off par Mister V, ont ainsi l’air de réaliser un rêve d’enfant, déambulant dans ces décors tels des architectes malgré eux de la partie dont ils ont toujours rêvé de jouer. Dotée d’une réalisation inventive faisant monter la tension crescendo au fur et à mesure des épisodes, Loups-Garous s’avère ainsi rapidement être une réussite à dévorer à pleines dents.

L’amour du jeu

Loups-Garous, c’est ainsi et avant tout la vision d’un jeu et d’une télévision modernes, pensés et habilement réfléchis par de jeunes créateurs pleinement ancrés dans leur époque. Il n’y aura ainsi jamais ici de parterre de stars venus cachetonner pour vendre un projet, d’effets tapageurs et de décors flashy pour exagérer l’ambiance recherchée et de volonté vomitive du moment festif à tout prix. Loups-Garous, c’est avant tout le jeu, et des participants choisis pour leurs diverses aptitudes à camper des joueurs habiles, pions d’une partie dont chaque détail s’avère être pensé pour en faire un instant mémorable de par sa complexité et ses surprenants dénouements, et ainsi mettre en son cœur les arcanes d’un concept crée il y a vingt-trois années, demeurant ici toujours aussi cruellement efficace.

Critique Loups-Garous, saison 1
© Canal+

Ces décors flambant neufs et ces 13 joueurs livrés à eux-mêmes en pleine forêt auraient ainsi pu être sonner factices et laisser planer un certain ennui. Mais la narration habile, dévoilant au fur et à mesure ses passionnants participants (allant d’un fan du jeu, en passant par une joueuse de poker, à un mentaliste et un ex de la DGSE), dévoile de par ses dialogues et l’habileté des tactiques, de véritables manœuvres politiques et un climat terrifiant tirant peut-être là (on ne pensait jamais le dire) ce que la télé-réalité pouvait proposer de meilleur.

Télé-réhabilitée

Parce qu’il n’est ici jamais question d’affection, d’objectivisation, mais uniquement de réflexion, d’intelligence et de manipulation. Loups-Garous joue ainsi habilement avec les codes de son format, comme avec les représentations que l’on pourrait se faire de ses joueurs et de l’étiquette qu’on leur accole souvent bien trop rapidement. Tous ont une longueur d’avance sur nous, et l’on prend ainsi plaisir à se trouver manipulé, et à créer soi-même des stratégies, tout au fond de son canapé, plus uniquement en tant que spectateur d’une partie qui prend alors véritablement vie sous nos yeux. On ne peut ainsi qu’admirer l’habileté machiavélique tant du jeu original que du scénario signé conjointement par Jason Brokerss, Freddy Gladieux, Fary et Panayotis Pascot.

Critique Loups-Garous, saison 1
© Canal+

Parce qu’il est ici question d’une nouvelle réussite pour CANAL+, qui après avoir permis à tant de talents de remettre au goût du jour une télé qui sentait déjà la naphtaline, redonne ici ses lettres de noblesse à un format qui nous avait récemment glacé le sang en dévoilant ses coulisses dans la fortement recommandable Culte, diffusée sur Prime Vidéo. D’une télévision exigeante qui ne prend jamais ses spectateurs pour des êtres dénués de réflexion, menant vers le haut la stratégie avec une dose d’humour, dans un alliage bienvenu entre modestie et réinterprétation amoureuse et contemporaine. Autant de raisons pour dévorer ce Loups-Garous tout cru.

Loups-Garous est disponible sur CANAL+. Le premier épisode est visible gratuitement sur YouTube.

Avis

7.0 SE DÉVORE TOUT CRU

Loups-Garous se fait à la fois adaptation respectueuse, appropriation moderne, vision réfléchie et aboutie, et surtout, au-delà de sa pincée d'humour, redonne ses lettres de noblesse aux propositions désespérantes auxquelles nous avait habitué la télé-réalité.

  • Moyenne des lecteurs (9 Votes) 6.4
Canal+
Partager Facebook Twitter WhatsApp

Articles en relation

Quelles sont nos meilleures et pires séries de 2025 ?

7.5

Critique Pluribus Saison 1 : bodysnatcher grand sourire

Top 10 des meilleures séries Netflix en 2025

Laisser une réponse Annuler la réponse

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

Nos articles du moment
  • Top 10 des films Netflix en 2025
  • Top 10 des meilleures séries Netflix en 2025
  • Avatar - De Feu et de Cendres : explications sur l'histoire, la fin et le futur de la saga (SPOILERS)
  • Critique Roofman : cambrioleur au grand cœur
  • Cannes 2025 - Critique Qui brille au combat : quand l'intime devient une tranchée
  • Concours

Concours -terminé- La Furie des Vampires : 2 combos Blu-Ray + DVD à gagner !

29 septembre 2025

Concours -terminé- De Mauvaise Foi : 3 DVD à gagner !

12 septembre 2025
  • La rédaction
  • Nous contacter
  • Vous faites L’Info Tout Court
  • Partenaires
  • Politique de confidentialité
  • Mentions Légales

Logo CFC 2019

Tapez votre recherche et appuyer sur Enter. Appuyez sur Esc pour annuler.