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Accueil - Critique Drive-Away Dolls : No Country for Young Queer
Critique Drive-Away Dolls : No Country for Young Queer
© Universal Studios
Cinéma

Critique Drive-Away Dolls : No Country for Young Queer

Charley Charley3 avril 2024Aucun commentaireIl vous reste 4 minutes à lireUpdated:13 avril 2024
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Drive-Away Dolls est le premier en solo d’Ethan Coen, frère de Joel : un duo de réalisateurs iconique nous ayant abreuvé de nombreux chef-d’œuvres (Fargo, No Country of Old Men, The Big Lebowksi..). Une sortie de route plutôt décevante malgré des éléments réjouissants, en particulier son casting et son ton décalé.

Après presque 30 ans de collaboration, les frères Coen se sont séparés (avant un retour ensemble déjà prévu) pour que chacun propose un projet selon sa sensibilité. Un divorce qui a porté ses fruits pour Joel Coen avec sa très bonne adaptation de Macbeth, tandis qu’Ethan renoue avec leur genre de prédilection pour Drive-Away Dolls !

Critique Drive-Away Dolls : No Country for Young Queer
© Universal Studios

En effet, ce road-trip un peu barré en développement depuis plus de quinze ans annonce la couleur dès sa truculente introduction : Pedro Pascal a juste le temps de nous montrer sa trogne, avant d’être goulûment assassiné à l’aide d’un tire-bouchon ! Une bande de malfrats récupère ainsi une mallette au contenu mystérieux, qui va être cachée dans une voiture de location.

C’est ainsi que nous découvrons Jamie (Margaret Qualley) et Marian (Geraldine Viswanathan), deux amies lesbiennes vivant à Philadelphie. Tandis que la première vient de séparer de sa conjointe, la seconde veut rendre visite à sa tante en Floride. Le hasard fait donc mal les choses : elles se retrouvent à louer la voiture où se trouve la fameuse mallette ! S’ensuit donc un voyage rocambolesque, avec un duo de tueurs à gages à leurs trousses.

Coen dry

Rocambolesque devrait cependant être mis entre guillemets, tandis que Drive-Away Dolls déçoit sur un terrain pourtant préalablement maîtrisé par les Coen. Du meurtre, des situations loufoques, un duo de gangsters, des accents pittoresques, une exploration de l’Amérique profonde.. On est pas très loin de Fargo finalement !

Critique Drive-Away Dolls : No Country for Young Queer
© Universal Studios

Malheureusement, la dimension roman de gare ou film noir se révèlera l’hémisphère le plus décevant de Drive-Away Dolls, à l’image du sympathique duo formé par Joey Slotnick & C.J. Wilson. Un tandem qui fonctionne en terme de dynamique comique, mais qui ne fera que tenter de rattraper les deux héroïnes, sans réelle interaction in fine. Un parti-pris déjà réussi dans un No Country for Old Men, mais qui ne volera pas bien haut ici de par le caractère sous-écrit de l’intrigue.

Non, c’est finalement la dynamique duo queer qui intéressera Ethan Coen et sa compagne Tricia Cooke, tel un récit émancipatoire lesbien dans l’Amérique conservatrice de la fin des 90’s. Car malgré ses péripéties oubliables et ultra pépères (qui parviennent même à bazarder les personnages de Colman Domingo et Matt Damon), c’est dans son côté frondeur de sale gosse et ouvertement sexuel que Drive-Away Dolls tire sa force.

Film de comédiennes

Un goût pour le potache et l’outrance qui donne ainsi une certaine vitalité à l’ensemble, dopé par un rythme sans temps mort (le film fait moins d’1h30) et son impeccable duo d’actrices principales. Une dynamique complémentaire, entre une Margaret Qualley extravertie et une Geraldine Viswanathan en voix de la raison. C’est dans cette exploration de leur sexualité et de leur identité que le film trouve son énergie motrice, jusque dans quelques gags bien sentis.

Critique Drive-Away Dolls : No Country for Young Queer
© Universal Studios

Rien de profondément novateur ou bien avant-gardiste en 2024, mais là encore Ethan Coen et sa compagne parviennent à garder un équilibre entre pamphlet socio-politique incarné (alors que l’homosexualité mise en parallèle avec la libération sexuelle des 60’s ira menacer la réputation d’un sénateur conservateur) et récit libidineux (Beanie Feldstein et son dildo au mur n’étant qu’un exemple réussi parmi d’autres).

Néanmoins, Drive-Away Dolls déçoit également sur un point non-négligeable : la mise en scène ! Rien de rédhibitoire, tant la grammaire reste appliquée (Ethan Coen jouant parfois habilement d’effets de transition que l’on avait pas vu dans la filmo liée à son frangin depuis plus d’une trentaine d’années). Mais la facture visuelle globale renvoie finalement à la même impression globale, à savoir qu’on est dans du Coen-light, telle une contrefaçon de leur cinéma. Sentiment renforcé par l’incursion pop-trippy de Miley Cyrus, telle des cassures rythmiques. Un chouette moment, mais qui aurait dû être bien plus que ce brouillon queer !

Drive-Away Dolls sortira au cinéma le 3 avril 2024

avis

4 simili-Coen

Avec Drive-Away Dolls, Ethan Coen signe un film décevant si on le compare aux éclatantes réussites de la filmographie bâtie avec son frangin. Reste une échappée queer dont l'irrévérence et le caractère brut de décoffrage ne laisse pas insensible, dopée par le talent de son casting féminin. Pour le reste, on tient là un petit film aussitôt vu aussitôt oublié malheureusement, à la fabrication tenue, mais sans éclat !

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