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Accueil - Cannes 2019 – Critique Mektoub, My Love : l’amour de la chair
Cannes 2019 - Critique Mektoub, My Love : l'amour de la chair
Cinéma

Cannes 2019 – Critique Mektoub, My Love : l’amour de la chair

Nicolas Diolez Nicolas Diolez25 mai 2019Aucun commentaireIl vous reste 2 minutes à lireUpdated:14 avril 2020
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Avec La Vie d’Adèle, Abdellatif Kechiche était reparti avec la Palme d’or sous les bras. Son film radical aux scènes de sexe ultra réalistes avait beaucoup marqué… Eh bien, rebelote !

Un détail : on a la drôle sensation d’être le lendemain d’une sortie en boîte au moment d’écrire ces lignes, mais c’est simplement à cause de Mektoub, My Love : Intermezzo, second volet de la saga sur la jeunesse et la famille, créé par le cinéaste de l’Esquive.

Un huis clos de 3h30.

Pour ceux qui aiment les films qui ne traînent pas trop au même endroit et qui rejoignent vite leur but, passez votre chemin. Kechiche propose une immersion dans un groupe de jeunes qui font la fête toute la nuit dans une boîte. Au menu : musique éléctro bourrine, des gens qui se chauffent, plans sexy, mais également le plus improbable cunnilingus du cinéma. Alors, si on le présente ainsi, cela peut faire un peu peur, mais finalement si on se laisse engouffrer par ce défi expérimental, il en ressort un sentiment de voir la vie – la vraie, pas une réalité de cinéma – à l’écran. Chose peu courante, il faut l’admettre.

Cannes 2019 - Critique Mektoub, My Love : Intermezzo, l’amour de la chair

De la chair, beaucoup de chair.

Comme pour La Vie d’Adèle, Kechiche reste au plus près des personnages. Il n’y a pratiquement aucun plan large et que des plans rapprochés ou des gros plans qui saisissent des expressions et des mouvements de corps. En conservant cette proximité pendant 3h30, il donne une profondeur stupéfiante aux personnages par rapport à un film classique. Il fabrique ainsi un dispositif autour de ses comédiens qui leur permettent de dépasser le simple jeu d’acteur, de livrer une puissante performance où ils s’oublient totalement.

C’est à ces éléments qu’on reconnaît le pur génie de Kechiche. On peut autant aimer son cinéma qu’on peut le détester – il ne peut plaire à tout le monde et il s’en fout certainement – mais en tout cas on ne peut pas lui critiquer sa patte unique qui est, à notre sens, essentielle au paysage cinématographique mondial. On a besoin de ce genre de film comme on a besoin des Avengers.  C’est la cohabitation des styles qui représente l’humanité dans son ensemble et qui fait du cinéma un art universel.

Mektoub, My Love : Intermezzo est en compétition officielle au Festival de Cannes 2019.

Cannes
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