Y a-t-il mieux au monde que Dragon Ball ? Évidemment que non. Depuis des années, la franchise est toujours aussi lucrative et chaque génération connaît le Super Saiyan. Alors quand Gokû et les autres reviennent dans une suite à Z, forcément on s’emballe direct pour Dragon Ball Super.
Un complément bienvenue. Si la première partie de ces 46 premiers épisodes te rappelle quelque chose, c’est normal. La série reprend les trames des films Battle of Gods et La Résurrection de F, avec l’arrivée de Beerus puis le retour de Freezer, tout en y ajoutant des détails, qu’ils soient narratifs ou visuels. Dès lors, on ne ressent plus cette frustration que nous avaient laissé les films par leurs raccourcis dans l’enchaînement des événements. Et ça a le mérite de rentre infiniment plus sympathiques les deux nouveaux « membres de la Z Team » (si on peut les considérer ainsi) : Beerus et Whis.
Une entrée en matière fracassante. Dragon Ball Super semble monter en puissance à tous les niveaux. Graphiquement, les nombreux ratés des premiers épisodes laissent petit à petit place à une animation mieux maîtrisée, moins précipitée. Au niveau de l’histoire, si les arcs Beerus et Freezer ne parviennent pas totalement à se défaire des défauts des longs-métrages dont ils s’inspirent, l’arc du tournoi contre l’univers 6 a le mérite d’ouvrir la saga au multiverse, lui offrant ainsi une dimension bien plus épique en terme d’affrontements et de mise en scène – notamment avec Hit -. Si on attend encore un scénario à la hauteur de ses aînés, Dragon Ball Super installe ses bases et elles sont pleines de belles promesses.
Le 1er coffret de la série Dragon Ball Super sort chez AB Vidéo le 22 août 2018.
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