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Accueil - Gérardmer 2024 – Critique When Evil Lurks : vous allez haïr son réalisateur
Gérardmer 2024 - Critique When Evil Lurks : vous allez haïr son réalisateur
© Festival de Gérardmer
Cinéma

Gérardmer 2024 – Critique When Evil Lurks : vous allez haïr son réalisateur

Gaëtan Jeanson Gaëtan Jeanson16 avril 2024Aucun commentaireIl vous reste 3 minutes à lire
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Vous connaissez l’expression qui consiste à dire qu’un film est « méchant » ? Et bien c’est le cas de When Evil Lurks. Présenté en compétition au 31e Festival International du Film Fantastique de Gérardmer, Demián Rugna – son réalisateur – nous indiquait avant même que son métrage n’ait commencé que nous, public, allions détester le film du plus profond de nos entrails. On vous raconte pourquoi ?

Après avoir découvert un cadavre mutilé près de leur propriété, deux frères apprennent que les événements étranges survenus dans leur village sont causés par un esprit démoniaque qui a élu domicile dans le corps purulent d’un homme. Le mal dont souffre ce dernier ne tarde pas à se répandre comme une épidémie, affectant d’autres habitants de la région.

© Capture d’écran de la bande annonce de When Evil Lurks

When Evil Lurks est un des films les plus hardcores des dernières années. Comparable à The Sadness de Rob Jabbaz, on retrouve une violence des plus extrêmes filmée en plein cadre. Demián Rugna effectue un filmage des plus naturalistes, ce qui rend son film réaliste et qui de fait, rend l’intrigue très palpable. Tout cela permet évidemment de trancher avec l’extrême violence du film, choquante, graphique et assez traumatisante. Vous l’aurez sans doute compris, le film n’est donc absolument pas destiné à tous. Âmes sensibles, s’abstenir…

En cela, When Evil Lurks est un film horrible, un film d’horreur. On ira même jusqu’à le déconseiller. Pourtant, il faut lui reconnaître une maîtrise absolue du setup / payoff. Demián Rugna jouit d’une mise en scène des plus maîtrisées. On a très rarement vu une tension aussi bien tenue de bout en bout. C’est d’ailleurs un des seuls films qui donne cette impression de perte de contrôle, d’une panique qui prend le dessus tant son réalisateur tient le spectateur en otage de son horreur (coucou la scène avec le chien). When Evil Lurks n’épargne personne et va à la total encontre des règles de bienséances hollywoodiennes. Le métrage est détestable et pourtant d’une efficacité terrible.

© Capture d’écran de la bande annonce de When Evil Lurks

Si Demián Rugna a prouvé son talent de metteur en scène et de réalisateur, il le fait aussi au travers d’un long-métrage à la photographie crépusculaire et marquante. A l’image de son univers, transpirant, lugubre, elle est si palpable qu’on aurait presque l’impression d’un odorama. When Evil Lurks dévoile une imagerie provinciale à l’image de celle d’un western contemporain, un parfait mélange entre étendues verdoyantes touristiques et abattage de bétail sanguinaire. D’ailleurs, on notera les impressionnants maquillages et effets de plateau. Au programme, blessures à gogo, à base d’hémoglobine, purulent parfois… On vous laisse imaginer la couleur. Nous, on a juste envie de l’oublier…

© Capture d’écran de la bande annonce de When Evil Lurks

En plus d’être vraiment efficace, Demián Rugna a eu la merveilleuse idée de mélanger deux sous-genre horrifique, à savoir, le film de possession et le film d’infection. Il en profite pour s’amuser à quelques rares instants avec sa photographie pour jouer de la représentation du mal, ou en tout cas de la suggérer. Le film regorge d’idées, il est généreux, mais clairement pas destiné à tout le monde.

On vous fera noter quand même que When Evil Lurks a remporté le prix de la critique ainsi que le prix du public durant le 31e Festival International du Film Fantastique de Gérardmer. C’est bien pour dire qu’il mériterait tout de même le coup d’œil, à condition d’être assez solide pour l’encaisser.

When Evil Lurks sortira au cinéma le 17 avril 2024.

AVIS

8 Atroce

On espère sincèrement pouvoir oublier certaines images de When Evil Lurks, juste histoire de mieux dormir le soir... Le film est détestable à mourir pour sa violence. Pourtant, on lui reconnaît une maîtrise impressionnante de ses outils de narration, de photographie et surtout de mise en scène.

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