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Accueil - Critique La volière aux souvenirs : laisser parler les p’tits papiers…
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Littérature

Critique La volière aux souvenirs : laisser parler les p’tits papiers…

Mélina Hoffmann Mélina Hoffmann29 octobre 2023Aucun commentaireIl vous reste 4 minutes à lireUpdated:29 octobre 2023
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La volière aux souvenirs est un conte familial tendre et touchant qui nous parle de transmission intergénérationnelle.

La volière aux souvenirs est une bande-dessinée pleine d’humanité. On y rencontre trois générations de femmes qui s’aiment mais ne savent plus se le dire, confrontées à des drames qui les bouleversent chacune à leur manière. C’est à travers le récit des souvenirs et leur transmission que les blessures vont pouvoir se refermer et les liens retrouver leur force. Une histoire qui cajole et vient enrober de lumière nos espaces de pénombre.

Un arbre comme journal intime

Dans la volière aux souvenirs, il y a un arbre pas comme les autres. À ses branches sont suspendus de petits oiseaux en papier. Chacun d’eux, quand on l’ouvre, dévoile un dessin qui représente un souvenir de Fantine. D’un oiseau à l’autre, on vole ainsi de moments marquants de sa vie d’enfant à celle de sa vie d’adolescente, puis de femme. Des morceaux d’existence qu’elle avait besoin de raconter, d’exprimer à sa manière, même si personne ne le comprenait et qu’on la traitait parfois de folle. Le dessin, c’est son exutoire depuis toute petite. Puis les mots sont venus s’ajouter.

Critique La volière aux souvenirs

Ainsi, dans cette magnifique volière, des oiseaux de toutes les couleurs racontent les joies, les instantanés de bonheur tels que sa première rentrée en tant qu’institutrice ou la naissance de son chien Babou. D’autres content les souvenirs plus douloureux, mais aussi essentiels, comme la maladie de son frère ou la perte de son papi. Car il faut tous ces moments pour faire une vie, toutes les couleurs. C’est ce que va découvrir sa petite-fille de 15 ans, Louison, quand sa curiosité va l’amener à déplier chacun des petits oiseaux de papier…

Quant les oiseaux chantent les souvenirs

Parallèlement à ce personnage de Fantine qui dégage une certaine sagesse et une forme de sérénité à l’égard des épreuves qui ont pu jalonner sa vie, celui de la mère de Louison offre d’abord un contraste saisissant. En effet, celle-ci est complètement anéantie depuis la mort de son mari six mois plus tôt et n’arrive pas à remonter la pente. Les rôles s’inversent alors et c’est Louison qui prend tout en charge…

Critique La volière aux souvenirs-1

Mais une nuit, Fantine fait un malaise cardiaque et se retrouve plongée dans le coma. La courageuse jeune fille lui rend alors visite chaque jour, sans cesser de soutenir sa mère autant qu’elle peut, tout en tentant de la faire réagir pour qu’elle reprenne le dessus. Louison soulage son cœur à sa manière, en écrivant elle aussi, dans un journal intime ou sur un papillon en papier. Et puis, tandis qu’elle continue à découvrir les souvenirs de sa grand-mère blottis dans les oiseaux, lui vient alors une bien jolie idée pour aider cette dernière à sortir du coma…

Ouvrez ouvrez la volière aux souvenirs !

Le dessin de Nina Jacqmin est sensible, tendre, pastel, de la couleur des souvenirs. Il s’accorde merveilleusement avec le texte tout en douceur et délicatesse de Valérie Weishar-Giuliani. Il nous fait voyager dans le temps de manière subtile et sans jamais perdre le lien avec le présent. À travers le partage de ces souvenirs, de ces histoires de vie, et de ces personnalités différentes aussi, ce sont l’amour, la compréhension, l’espoir qui refleurissent et viennent ouvrir des cages trop longtemps restées fermées. Chacun peut alors reprendre la place qui est la sienne et respirer à nouveau.

Critique La volière aux souvenirs-2

Cette volière aux souvenirs est sublime à tous points de vue et a quelque chose d’un peu merveilleux. On aurait d’ailleurs aimé que les papillons de Louison se multiplient et viennent prendre leur envol aux côtés des oiseaux de Fantine dans les dernières planches. Mais la poésie est tout de même au rendez-vous jusqu’à la fin, et la suite s’écrira dans notre imaginaire. Dans les dernières pages, le carnet d’origami de Fantine nous invite à créer nos propres oiseaux, papillons, coccinelles, perroquets, cygnes ou encore canards en papier ! Finalement, notre seul regret à la fin de l’album ? Ne pas avoir de jardin !

La volière aux souvenirs, de Nina Jacqmin & Valérie Weishar-Giuliani, est paru aux Éditions Jungle.

Critique La volière aux souvenirs couv

Avis

9 Un récit tendre et rempli d'amour

L'histoire est belle, originale et inspirante. Elle nous invite à chérir tous nos moments de vie, à les mettre en mots, en émotions, et à puiser dans notre histoire et celles de nos proches la force de sans cesse redéployer nos ailes, notamment à la suite d'un deuil.

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