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Accueil - Critique Gore : Lous and The Yakuza en mode sombre
Critique Gore : Lous and The Yakuza en mode sombre
© Sony Music Entertainment France / Columbia
Musique

Critique Gore : Lous and The Yakuza en mode sombre

Clem MP Clem MP19 octobre 2020Aucun commentaireIl vous reste 3 minutes à lireUpdated:23 octobre 2023
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Gore, premier album de la jeune Lous and The Yakuza, joue habilement avec les mots, les sensations, les paradoxes.

Sur des airs de hip hop à la limite de la pop, Gore se révèle aussi dansant que mélancolique. S’y pose délicatement et avec maitrise la voix suave de Lous and The Yakuza alternant rap et chant dans ses titres. En résulte un album travaillé dans le maniement de la voix et dans effets instrumentaux. Idéal pour rendre compte des tourments de Lous and The Yakuza nés de son histoire des plus houleuses.

On ne s’étonne alors plus vraiment du sujet choisi : le gore, genre cinématographique violent à souhait provoquant dégoût ou au contraire, rire. Adapté à la musique, ce terme décrit… le monde actuel. Exit les zombies dégommés à la tronçonneuse, c’est le monde réel qui transpire le gore ! Lous and The Yakuza décline judicieusement ce terme à la sauce plus psychologique. Le mal est général et s’immisce dans les cœurs, Tout est gore dans ce monde. Ce triste constat établi dès la construction de l’album révèle les blessures sur l’être engendrées par des problèmes familiaux ou l’extrême pauvreté (Dans la hess). Gore s’ouvre alors sur un Dilemme cornélien et se conclut sur bilan cinglant; impossible de s’entendre avec l’Autre, on est condamné à rester Solo…

Critique Gore : Lous and The Yakuza
© Sony Music Entertainment France / Columbia

Album ambivalent

Cette vision du gore sous le prisme de son histoire vise éminemment des fins politiques. Lous and The Yakuza, dépitée par tant de cruauté, entend changer les mentalités et les lois pour un monde un peu moins gore. Encore faudrait-il saisir les messages véhiculés par ses morceaux. Si Quatre heures du matin évoque avec désabusement et transparence le viol, d’autres demeurent flous même en étant averti des grandes lignes son histoire.

Un tour d’horizon rapide, tel semble le credo de cet album constitué de seulement 10 titres (pour une courte expérience de 29 minutes). On ressent vite une certaine frustration à l’écoute de Gore. Une redondance s’installe rapidement en dépit du soin accordé à la réalisation. On regrette alors que Lous and The Yakuza s’astreigne à la même recette; à savoir alterner rap basique et passages plus chantés dans chaque titre, sur fond hip hop peu recherché…

Femme d’aujourd’hui

Une voix féminine se dresse, celle de Lous And The Yakuza, à l’encontre de ce monde suintant les inégalités grouillant d’individus hypocrites (Bon acteur) et jaloux (Amigo). Gore transmet avec force une vision très personnelle du monde en vue d’éveiller les consciences. Ironie du sort, malgré les efforts accordés à l’écriture, les rythmes dansant détournent souvent l’attention. Il s’agit non moins d’un début prometteur pour cette jeune chanteuse de 24 ans.

Gore est sorti le 16 octobre 2020.

Avis

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