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Accueil - Critique Dark Matter saison 1 : l’étouffant multivers de Monsieur Tout Le Monde
Critique Dark Matter saison 1 : l’étouffant multivers de Monsieur Tout Le Monde
© Apple TV +
Série

Critique Dark Matter saison 1 : l’étouffant multivers de Monsieur Tout Le Monde

Rosalie Grand d'Esnon Rosalie Grand d'Esnon9 mai 2024Aucun commentaireIl vous reste 5 minutes à lire
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Blake Crouch s’est lancé, avec la série Dark Matter, dans l’aventure de l’adaptation d’un roman de science-fiction à succès écrit par nulle autre que lui-même ! Avec Joel Edgerton et Jennifer Connelly au casting, la série continue d’alimenter un catalogue de science-fiction des plus remarquable sur Apple TV+

Il faudra admettre que la science-fiction a cette année le vent en poupe. Mais ce qui est beau avec la SF, c’est que peu importe les époques, il y a toujours le moyen de l’adapter à une temporalité plus actuelle. Et ça, Blake Crouch l’a bien compris. Avec Dark Matter, il réactualise des angoisses que nous partageons tous, et pose des questions que nous connaissons un peu trop bien… Et si ? Et si ma vie pouvait ne pas être ce qu’elle est maintenant ? 

Le multivers du quotidien 

La science-fiction, surtout pour les moins connaisseurs, peut parfois être difficile d’accès. Dans Dark Matter, le concept essentiel tourne autour du chat de Schrödinger et de son hypothèse. On ne fera pas l’affront d’essayer d’expliquer cette théorie ici, à noter que dans la série elle y est parfaitement résumée. Tout part de là, de cette théorie. Petit à petit, l’atmosphère devient de plus en plus étouffante sans jamais basculer vers du robotique, du spatial ou autres thèmes qui peuvent caractériser la SF. Blake Crouch joue sur nos peurs et nos angoisses, il joue avec cet éternel … et si ?

Critique Dark Matter (saison 1)
© Apple TV +

Dans Dark Matter, il est question de différentes réalités, de diverses versions du monde. Ce « multivers », on le connaît tous, c’est celui des Marvel, DC Comics… Mais non, pas ici. En effet, c’est un premier point on ne peut plus remarquable. Il n’est pas question de super-pouvoir dans la série. L’histoire, c’est celle de Jason Dessen, professeur de physique raté qui voit son couple se noyer. Un jour, il est entraîné de force vers un lieu mystérieux et se retrouve plongé dans un univers parallèle. Un pitch simple, pas d’accident qui lui donne des pouvoirs, rien de tout ça, juste un prof de physique avec ses connaissances et ses regrets.  

Une mécanique simple pour un personnage « simple »

Une fois que l’histoire est posée, on sait où ça va. Ou du moins, c’est l’impression qu’on a. La mécanique de basculement est mise en place dès le premier épisode, pas de surprise ou de révélation avant visionnage donc. Il est ici nécessaire de souligner le brillant moyen qu’à trouver Blake Crouch pour faire ressentir ce changement. Un claquement de doigt. Juste ça, mais c’est parfait. Ça prend aux tripes, et on comprend tout de suite. Un claquement de doigt qui établit une atmosphère de plus en plus étouffante et qui se resserre toujours plus sur ce pauvre Jason. 

Critique Dark Matter (saison 1)
© Apple TV +

Là aussi, c’est un tour de force non négligeable. Le personnage de Jason Dessen n’a rien d’absolument exceptionnel. Mais c’est presque tant mieux. Là où on peut s’attendre à des personnalités surhumaines, riches, surdouées, ici, on a un homme auquel on peut tout à fait s’identifier. En effet, à de nombreuses reprise, on sympathise avec lui, on a envie d’entrer dans l’écran pour le prendre dans nos bras et compatir à son malheur. Joe Edgerton est touchant, il abandonne ses rôles de gros durs dans lesquels on peut avoir l’habitude de voir. Dans Dark Matter, il est un père de famille qui doute, qui se laisse avoir par ses angoisses. Et il crève le cœur par son réalisme. 

Un envoûtant casting

Edgerton partage l’écran avec, entre autres, Jennifer Connelly. Daniela est une femme mystérieuse, personnalité qui tranche d’autant plus avec celle de Jason, elle semble savoir où elle va. Tout en elle est hypnotique jusqu’à son regard. Jennifer Connelly n’est pas une madame tout le monde, elle est bien trop classe pour ça, mais dans Dark Matter, on croit à cette mère de famille aux penchants artistiques. Mention spéciale à Charlie (Oakes Fegly) et Ryan (Jimmi Simpson) dont on espère en découvrir un peu plus si une saison 2 s’annonce.

Critique Dark Matter (saison 1)
© Apple TV +

L’autre figure féminine de la série, c’est Alice Barga. On pourrait presque dire que c’est l’opposé de Jennifer Connelly, une personnalité solaire, bavarde. Amanda est forcément celle qu’on aime, qu’on a envie de suivre. Cette différence entre elle et Daniela est juste parfaite, et en même temps, il y a des similarités qui se dévoilent petit à petit pour le plus grand plaisir du spectateur. Cette dualité… n’est-ce pas là tout le propos de l’histoire, des réalités parallèles, jusque dans les personnages ?

Sans basculer dans la surabondance de message ou de symboles, Dark Matter est un étau qui se resserre progressivement, à l’image de l’angoisse qui progresse dans nos poitrines avant d’exploser dans un fracas retentissant. Une série haletante, qui nous tient jusqu’au bout et qui mérite sans aucune hésitation sa place au sein des vraies bonnes séries de science-fiction de cette année 2024. 

Dark Matter est disponible sur Apple TV+ depuis le 8 mai 2024

Avis

8 Étouffant

Dark Matter joue avec nos émotions. Portée par des personnages auxquels on pourrait tout à fait s’identifier, la série de Blake Crouch travaille au corps notre envie de savoir plus. Une atmosphère lourde, des personnages attachant… la recette pour une série qu’on a envie de voir d’une traite.

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