Encore en phase de bêta, Dishonored 2, nous a été présenté à travers la session du Manoir de Kirin Jindosh. Il nous a fallu tuer/neutraliser cet inventeur machiavélique avant qu’il ne construise une armée de Clockwork Soldiers, et secourir Solokov retenu chez lui.
15 ans après le premier opus, Emilie a bien grandi. Le titre offre l’opportunité sympathique de pouvoir incarner Emilie Kaldwin ou Corvo Attano. Chacun propose un gameplay (armes, pouvoirs, résistance…) bien différent, très marqué, très agréable, qui permet de découvrir l’opus de manière originale. À l’aide de leur arsenal complet et varié (mines, grenades, tranquillisants, pistolets…), les approches sont nombreuses.
Un level design aux petits ognons. Autre choix crucial toujours hérité du précédent épisode : l’infiltration ou le rentre-dedans. Conservant l’esprit très steampunk, le jeu dévoile des décors et surtout un level design fouillé (envers du décor, décorations…). De multiples possibilités de contournement sont laissées libres au joueur, au milieu d’environnements riches, travaillés et détaillés. Clairs, avec une identité marquée, ces derniers permettent d’errer dans les labyrinthiques niveaux sans jamais s’égarer.