L’irruption d’un traumatisme oublié !
Parlons désormais d’un point particulièrement satisfaisant pour les fans de la série : les portes !
Leur animation dans Resident Evil permettait à la PlayStation de charger la prochaine salle. Cette lente transition (en vue subjective… juste pour dire !) est devenue aussi culte que le jeu lui-même.
Le joueur imaginait toutes sortes de choses, derrière chacune d’elles, même s’il était invulnérable lors des transitions. Les suites de RE1 ont ravivé cette flamme de plusieurs manières, allant jusqu’à permettre à n’importe quel monstre d’ouvrir ces accès en temps réel.
L’ambiance et l’animation des portes, lentes dans Resident Evil 7 – couplé au manque de munition et à la poursuite d’un psychopathe immortel – suffisent à effrayer ! Jack Baker fait comme chez lui, les monstres semblent venir de nulle part et on ignore ce dont ils sont capables… L’inconnu, ça fout les jetons !