Le Festival de Cannes, c’est aussi la parade des accrédités. Vous savez, ces flâneurs désinvoltes qui arborent innocemment leur badge de “presse”… ou de “cinéphile”. Plus votre carte est bariolée, et plus vous avez une chance de ne pas être refusé au bout d’une, voire deux heures, d’attente devant les salles.
Parce que oui, pour nous les nouveaux, Cannes est synonyme de frustration ultime. Nous n’avons pas eu accès à la projection de La Chambre Bleue de Mathieu Amalric, malgré une longue attente. Heureusement qu’il y a eu la montée des marches de Dragons 2 pour nous éviter d’avoir à regretter d’être venu.
Article écrit par Le Cinéphile Anonyme