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Accueil - Rétrospective David Fincher : le génie perfectionniste
Rétrospective David Fincher : le génie perfectionniste
© Netflix © Jean-Baptiste Mondino
Cinéma

Rétrospective David Fincher : le génie perfectionniste

Charley Charley10 novembre 2023Aucun commentaireIl vous reste 11 minutes à lire
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David Fincher est un réalisateur extrêmement important au sein du cinéma américain moderne. Auteur à hétéroclite de prime abord, sa filmographie se compose majoritairement d’œuvres mettant en scène des personnages isolés dans leur prison mentale, que ce soit au sens propre ou figuré. Connu pour son perfectionniste maladif autant dans la direction d’acteurs que dans la méticulosité de ses plans, David Fincher fait office d’outsider à Hollywood. Aujourd’hui en contrat avec Netflix, avec 12 films à son actif (et une myriade de projets avortés), on revient sur la carrière de ce brillant réalisateur :

David Fincher, né en 1962, tombera très vite dans la marmite de cinéma. Ado s’invitant sur des plateaux de tournage (à l’instar d’un certain Steven Spielberg), il deviendra technicien chez ILM, travaillant sur les effets spéciaux de Star Wars – Le Retour du Jedi ou encore Indiana Jones et le Temple Maudit. Un cursus qui lui servira à intelligemment utiliser les effets visuel dans ses futurs films, de manière à ce que le spectateur ne les perçoive pas ! C’est en travaillant ensuite dans le milieu du clip et de la publicité qu’il se fera remarquer, notamment avec cette campagne de prévention, abordant les dangers du tabac sur la santé des fœtus :

Les débuts dans la publicité

David Fincher considérera sa carrière de clippeur comme sa véritable « école de cinéma ». Un milieu où il pourra exercer sa créativité et développer son style. À savoir un soin particulier alloué à la puissance évocatrice des images, une palette visuelle aux couleurs métalliques, et un sens accru du montage. On retiendra par exemple une pub Levi’s préfigurant The Game, une autre pour Xelibri avec un gros travail sur la chair, « The Speed Chain » pour Nike et qui bénéficie d’effets spéciaux saisissants par Digital Domain, ou bien l’étonnant « Mechanical Legs » pour Adidas (entièrement en CGI). Mais si on devait en retenir qu’une, ce serait son court-métrage (avec notamment une pub cyberpunk pour Coca-Cola ci-dessous) destiné à promouvoir Propaganda Films. Une société spécialisée dans la pub et le vidéoclip, où des réalisateurs comme Michael Bay, Spike Jonze, Antoine Fuqua, Michel Gondry, Alex Proyas, Gore Verbinski, Mark Romanek ou encore Zack Snyder auront fait leurs débuts !

David Fincher le clippeur

Par la suite, le nom de David Fincher aura une vraie résonance dans l’industrie du vidéoclip. De par le même soin appliqué que pour ses publicités, le réalisateur traitera ses clips comme de vraies propositions cinématographiques. Référencés et inventifs, il tournera pour Madonna (le culte « Vogue« , l’onirique « Express Yourself« , le mélancolique « Bad Girl » ou le Citizen Kane-like « Oh Father« ), Aerosmith (le polar « Janie’s Got a Gun« ), les Rolling Stones (le fantasmagorique « Love is Strong« ), Nine Inch Nails (le novateur « Only« ), Paula Abdul (de « Straight Up » à « Cold Hearted » en passant par « (It’s Just) The Way That You Love Me« ), Justin Timberlake (l’élégant noir et blanc de « Suit & Tie« ) ou même le King of Pop Michael Jackson (le néo-noir « Who is It« , peut-être le meilleur clip de Fincher). Le plus culte restera « Freedom! 90 » de George Michael : sensuel et classe tout simplement !

Des projets éclectiques

David Fincher explosera bien sûr via sa carrière au cinéma. Une filmographie prestigieuse, caractérisée par son amour pour les personnages solitaires étrangers à la société, la violence psychologique, la noirceur de l’âme humaine, l’obsession, les mouvements de caméra précis (pas de caméra à l’épaule !)… Des projets singuliers, mais le réalisateur est aussi connu pour ses projets non arrivés à maturité : un film de SF Kubrickien avec Morgan Freeman pour Rendez-vous avec Rama ; une adaptation du Hardboiled de Frank Miller ; le polar sombre Torso impliquant Eliott Ness ; un Mission Impossible 3 R-Rated en Afrique, le biopic sur Cléopâtre ou bien une suite à World War Z…

On regrettera surtout une nouvelle adaptation de 20 000 Lieues sous les Mers pour Disney : un gros blockbuster en 3D que Fincher qualifiera de projet ambitieux avec des designs à la Harryhausen (et qui sera annulé au dernier moment pour divergences niveau casting). Néanmoins, le réalisateur nous aura abreuver de films marquants, du polar au survival, en passant par le biopic ou le thriller psychologique. Une aisance impressionnante qu’il essaiera d’appliquer au petit écran !

Rétrospective David Fincher : le génie perfectionniste
« Je pense que les gens sont des pervers, c’est ce sur quoi j’ai basé ma carrière entière » © Columbia Pictures

David Fincher le producteur

En effet, David Fincher aura d’abord essayé d’adapter Le Dahlia Noir en une mini-série de 6 épisodes en 2005. Puis pour la prestigieuse chaîne HBO, 2 projets avortés n’auront droit qu’à leur premier épisode (non dévoilés bien sûr) : Videosyncrazy (série à la Entourage sur le milieu du vidéoclip dans les 80’s) et un remake US d’Utopia (que Gillian Flynn fera finalement pour Amazon). Via Netflix, il produira 3 séries saluées par la critique :

  • House of Cards : drame politique porté par un Kevin Spacey au sommet, et un excellent casting (Robin Wright, Corey Stoll, Kate Mara, Mahershala Ali…). Fincher réalisera les 2 premiers épisodes de la Saison 1.
  • Mindhunter : série d’investigation sur des serial killers, à l’aune du profiling par le FBI. 2 saisons passionnantes à la fabrication exemplaires (Fincher réalisera 7 épisodes en tout). Mais devant la production exigeante, le départ d’un showrunner et le manque d’audience, la série sera interrompue indéfiniment (5 saisons étaient prévues).
  • Love, Death + Robots : série anthologique d’animation créée par Tim Miller (Deadpool). Un Métal Hurlant nouvelle génération et adulte, où chaque court-métrage bénéficie d’un style visuel singulier, par des studios d’animation des quatre coins du Globe. Un pur régal subversif !

David Fincher, le cinéaste

Sans plus attendre, abordons la filmographie variée de Fincher :

Rétrospective David Fincher : le génie perfectionniste
© 20th Century Fox

Alien³ (1992) : l’enfer d’un film malade

Critique complète d’Alien³

Avec Alien³, Fincher se lancera dans une production chaotique, en altercations constantes avec le studio. En résultera une version charcutée par la prod, qui retrouve légèrement ses lettres de noblesse via une Assembly Cut de bonne facture. Même s’il sera réévalué plus tard, via notamment sonambiance envoûtante et singulière, ce 3e opus de la saga Alien est totalement désavoué par David Fincher !

Rétrospective David Fincher : le génie perfectionniste
© New Line Cinema

Se7en (1995) : le diamant noir du thriller

Critique complète de Seven

Avec Seven (stylisé Se7en), David Fincher entre immédiatement dans la cour des grands ! Un polar hardboiled à l’ambiance poisseuse et emprunt d’une réelle violence psychologique. Doté d’une fin inoubliable, Seven fait partie du panthéon du cinéma moderne. Un des plus grands films de l’Histoire tout simplement, qui changera définitivement la grammaire du thriller pour toutes les années suivantes. On a toujours pas fait mieux !

Rétrospective David Fincher : le génie perfectionniste
© Polygram Filmed Entertainment

The Game (1997) : manipulation obsessionnelle

Critique complète de The Game

Avec The Game, David Fincher cite Hitchcock pour un thriller paranoïaque aux proportions rocambolesques et vertigineuses. Sorte de film-poupée russe, The Game est à la fois un des films les plus sous-estimés de sa filmographie, mais aussi un des plus beaux. Avec en tête un Michael Douglas dans un de ses meilleurs rôles, on tient ici un long-métrage prenant et surprenant, où Fincher affirmera définitivement son style visuel.

Rétrospective David Fincher : le génie perfectionniste
© 20th Century Fox

Fight Club (1999) : le chef-d’œuvre inclassable

Critique complète de Fight Club

Avec Fight Club, Fincher signe son film le plus controversé à sa sortie. Heureusement réhabilité dès sa sortie vidéo, on tient là un petit chef-d’œuvre post-moderne et avant-gardiste, autant dans sa mise en scène novatrice que dans son propos riche. Servi par un duo d’acteurs phénoménal, Fight Club est un vrai film culte hybride, clôturant admirablement le siècle pour ouvrir les possibles d’une nouvelle vague de cinéma.

Rétrospective David Fincher : le génie perfectionniste
© Columbia Pictures

Panic Room (2002) : home invasion sous tension

Critique complète de Panic Room

Avec Panic Room, David Fincher accouche peut-être de son film le moins profond ou surprenant. Néanmoins, tout le long-métrage est prétexte à un jeu du chat et de la souris sous haute tension. Un huis clos exemplaire de maîtrise, de part un casting au top et une mise en scène inventive abolissant toute contrainte aux mouvements de caméra. Une masterclass de mise en scène donc !

Rétrospective David Fincher : le génie perfectionniste
© Paramount Pictures © Warner Bros

Zodiac (2007) : les mémoires d’un tueur

Critique complète de Zodiac

Pour Zodiac, David Fincher s’inspirera du cinéma de Pakula, pour créer un drame d’investigation à la méticulosité exemplaire ! Centré sur les faits réels autour du Tueur du Zodiaque dans les 70’s, le film s’impose une rigueur journalistique maladive afin de recréer chaque lieu d’époque tel quel. Le tout via des effets visuels savamment implémentés pour duper l’œil du spectateur ! Un excellent polar, avec un casting aux petits oignons !

Rétrospective David Fincher : le génie perfectionniste
© Paramount Pictures © Warner Bros

L’Étrange Histoire de Benjamin Button (2008) : une formidable histoire du temps

Critique complète de L’Étrange Histoire de Benjamin Button

David Fincher signe à la fois son film le plus onéreux et un de ses plus personnels avec L’Étrange Histoire de Benjamin Button. L’occasion également de révolutionner l’industrie via des effets visuels de rajeunissement et autres doublures numériques tout simplement saisissants. Un drame existentiel poétique et mélancolique, qui fait office d’outsider dans sa filmographie. C’est d’une tendresse renversante !

Rétrospective David Fincher : le génie perfectionniste
© Columbia Pictures

The Social Network (2010) : le genèse révolutionnaire de Facebook

Critique complète de The Social Network

The Social Network marquera un vrai tournant dans la carrière de David Fincher. Via un script riche en dialogues orchestrés comme des scènes d’action, The Social Network est autant un condensé de faits sur la genèse du plus gros réseau social qu’une histoire tragique impliquant amitié, trahison, pouvoir, ambition et luttes des classes. Le style précis de Fincher est présent, associé à une BO unique en son genre, pour une des œuvres les plus modernes et importantes de ce début du XXIe siècle !

Rétrospective David Fincher : le génie perfectionniste
© Columbia Pictures

Millenium – les hommes qui n’aimaient pas les femmes (2011) : Scandi-noir glacial

Critique complète de Millenium – les hommes qui n’aimaient pas les femmes

Millenium (« The Girl with the Dragon Tattoo » dans la langue de Shakespeare) est une nouvelle adaptation du scandi-noir littéraire de Stieg Larsson. Une mouture US qui colle parfaitement à l’œuvre de base, sans la dénaturer, et bénéficiant d’un soin plastique qui force le respect. Un récit dense, parfaitement narré via un montage fantastique, et dont la beauté glaciale prend aux tripes. Un pur polar noir et atmosphérique, avec le plus beau personnage féminin de la carrière de Fincher.

Rétrospective David Fincher : le génie perfectionniste
© 20th Century Fox

Gone Girl (2014) : le diabolique mariage des apparences

Critique complète de Gone Girl

Gone Girl est un film à tiroirs dont la noirceur s’insinue longtemps dans l’esprit du spectateur, bien après le visionnage. Un thriller psychologique absolument impressionnant de maîtrise, portée par une interprétation féminine absolument mémorable et un humour noir délicieusement pervers. Autant un film de genre bien barré qu’une sordide étude de mœurs, une allégorie nihiliste du mariage et une satire des apparences, Gone Girl ne se raconte pas, il se vit ! Un très grand film !

Rétrospective David Fincher : le génie perfectionniste
© Netflix

Mank (2020) : dans les coulisses du vieil Hollywood

Critique complète de Mank

Avec Mank, David Fincher signe un biopic à la beauté plastique impressionnante, qui fait littéralement voyager le spectateur dans le temps. Noir et blanc superbe, reconstitution d’époque exemplaire, acteurs au cordeau, dialogues savoureux, sound design travaillé, acteurs parfaits… Sans aucun doute le Fincher le plus exigeant, mais un de ses plus fascinants et touchants. Une très belle déclaration d’amour au cinéma et sa puissance d’évocation !

Rétrospective David Fincher : le génie perfectionniste
© Netflix

The Killer (2023) : exécution (presque) sans bavure

Critique complète de The Killer

Dans The Killer, David Fincher donne à un concept de série B une grandeur nouvelle, via un pur exercice de mise en scène chirurgicale. Drivée par une maîtrise absolue de la scénographie et du sound design, cette revenge story renvoyant au cinéma hardcore des années 70 se veut tel un shot glacé avec un arrière goût fumé : lancinant de par le monologue omniprésent de son anti-héros, et passionnant de par ses accès de violence sèche. Et derrière son concept épuré, reste une réflexion originale sur notre propre condition humaine !

The Killer est disponible sur Netflix

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